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La cellulite, c’est comme la mafia, ça n’existe pas

« Avant de faire l’écrivaine, j’étais une fille dans la vingtaine, plutôt fauchée, qui travaillait dans la publicité et qui, en prime, tenait un blog. Un jour, les gens d’une maison d’édition m’ont appelée et ils m’ont dit, hey, tu sais que tu écris vraiment bien ? Publie un non-roman chez nous. J’étais un peu retournée par la proposition, mais la bonne nouvelle, c’était que je ne serais éventuellement plus obligée de gratter dans la publicité. Mortel, j’ai pensé. J’ai tout de suite signé le contrat. Le non-roman est donc sorti avec un titre qui – pour garder une certaine cohérence éditoriale – est un non-titre, il s’est vendu comme des petits pains et il est devenu un phénomène d’édition. Moi qui étais plutôt indigente, je suis devenue une star : on m’a téléphoné de partout pour m’interviewer, pour m’inviter à la télé, pour me demander ce que je pensais du réchauffement climatique, de l’extinction des lions de mer ou du cinéma kazakh. » Pulsatilla, Préface à l’édition française. Fille normalement perturbée de parents d’extrême gauche cultivés et normalement incapables – une mère enseignante, un père vite divorcé – Pulsatilla, dans ce premier livre qu’elle qualifie de « bio-roman », porte le regard lucide et mordant de la génération Trainspotting sur celle de ses parents. L’enfance à Foggia bercée par l’ennui et la gastronomie des Pouilles, l’adolescence entre le pensionnat, l’anorexie, la boulimie ou l’épilation laser, la politique, la télé et le Net, les garçons… d’astuces régimes intégristes en séances de chat sur les sites de rencontres, Pulsatilla décrit son quotidien avec espièglerie et une intelligence nourrie d’érudition. Elle réussit un journal à la « Bridget Jones, en plus intelligente et plus transgressive » (La Republica) petit bijou d’autodérision et vrai livre de fille, où se succèdent d’irrésistibles morceaux de bravoure (on retiendra dans le désordre : la culotte, l’hydratation, les règles, la campagne, la cellulite, les régimes, la consommation, la pub).

 

Traduit de l’espagnol par Antoine Martin

UGS : VAU1489. Catégorie : . Genre : Roman, Format : 130 X 198, Date de parution : 2008-05-02, Nombres de pages : 280, EAN-ISBN : 9782846261616,

Description

« Avant de faire l’écrivaine, j’étais une fille dans la vingtaine, plutôt fauchée, qui travaillait dans la publicité et qui, en prime, tenait un blog. Un jour, les gens d’une maison d’édition m’ont appelée et ils m’ont dit, hey, tu sais que tu écris vraiment bien ? Publie un non-roman chez nous. J’étais un peu retournée par la proposition, mais la bonne nouvelle, c’était que je ne serais éventuellement plus obligée de gratter dans la publicité. Mortel, j’ai pensé. J’ai tout de suite signé le contrat. Le non-roman est donc sorti avec un titre qui – pour garder une certaine cohérence éditoriale – est un non-titre, il s’est vendu comme des petits pains et il est devenu un phénomène d’édition. Moi qui étais plutôt indigente, je suis devenue une star : on m’a téléphoné de partout pour m’interviewer, pour m’inviter à la télé, pour me demander ce que je pensais du réchauffement climatique, de l’extinction des lions de mer ou du cinéma kazakh. » Pulsatilla, Préface à l’édition française. Fille normalement perturbée de parents d’extrême gauche cultivés et normalement incapables – une mère enseignante, un père vite divorcé – Pulsatilla, dans ce premier livre qu’elle qualifie de « bio-roman », porte le regard lucide et mordant de la génération Trainspotting sur celle de ses parents. L’enfance à Foggia bercée par l’ennui et la gastronomie des Pouilles, l’adolescence entre le pensionnat, l’anorexie, la boulimie ou l’épilation laser, la politique, la télé et le Net, les garçons… d’astuces régimes intégristes en séances de chat sur les sites de rencontres, Pulsatilla décrit son quotidien avec espièglerie et une intelligence nourrie d’érudition. Elle réussit un journal à la « Bridget Jones, en plus intelligente et plus transgressive » (La Republica) petit bijou d’autodérision et vrai livre de fille, où se succèdent d’irrésistibles morceaux de bravoure (on retiendra dans le désordre : la culotte, l’hydratation, les règles, la campagne, la cellulite, les régimes, la consommation, la pub).

 

Traduit de l’espagnol par Antoine Martin

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À propos de l'auteur

Author

Pulsatilla : un pseudonyme en hommage à la plante que son homéopathe lui prescrit contre ses accès de méchanceté. Née en 1981 à Foggia, la capitale des Pouilles, elle quitte le sud de l’Italie pour s’installer à Rome, où elle travaille comme rédactrice publicitaire. Après son blog qui obtient rapidement un succès fulgurant sur la toile, son premier livre, La cellulite c’est comme la mafia, ça n’existe pas, devient un best-seller immédiat et la révèle dans le monde entier.

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